Internet n'est pas arrivé jusqu'à Mooslargue?

Dernière illustration du deux poids deux mesures à Mooslargue: pas de publication de l’arrêté de prolongation des restrictions d'eau sur le site internet de la commune. Seul l'affichage au tableau de la mairie permet d'avoir l'information pour les habitants. Ceci alors qu'à contrario, l'arrêté initial avait bien été publié.

Quand on connaît le zèle que déploie le maire pour déposer des plaintes, et à dénoncer les gens plutôt que de dialoguer, il serait plus qu'utile qu'il informe les habitants avec la même rigueur pour leur éviter de se retrouver en infraction. Mais non.

Logique bien incompréhensible, piège ou simple erreur (encore!!)?

L'habitant de Mooslargue peut donc oublier le site internet de la commune comme source d'information fiable: pas exhaustif, se focalisant sur des détails alors qu'il y manque parfois l'essentiel...

Inexplicable deux poids, deux mesures

Pour annoncer (légitimement) le repas de l'association de pêche ou effacer toute trace d'un adjoint démissionnaire, le site est parfaitement à jour dès le lendemain (quelle célérité exemplaire).

Mais quand il s'agit de publier le compte-rendu du dernier conseil municipal, c'est une autre histoire... Les comptes-rendus de séance du conseil municipal "sont mis en ligne quelques jours après chaque séance", proclame pourtant le site.

Plus de 3 semaines après le dernier conseil, toujours rien de publié sur le site de la commune. Dont acte, c'est raté. Alors qu'il s'agit d'un simple PDF à mettre en ligne !

Et que dire du bulletin communal "La Lorgnette": le dernier numéro disponible sur le site date de 2017.

On ne parle même pas de la non-publication des spectacles  de l'association Mattagumber, régulièrement censurée à Mooslargue.

Décidément, cette équipe a bien du mal à franchir le cap du 20^ème siècle.

Et les réseaux sociaux?

Quant aux réseaux sociaux (Facebook pour citer le plus connu), dont la plupart des communes voisines ont adopté le fonctionnement et encouragent ainsi l'échange avec leurs citoyens. Nous sommes plus au courant des coupures d'eau à Bisel, ou des travaux à Seppois que de ce qui se passe à Mooslargue!

Est-ce justement cette facilité d'échange et le dialogue qui font peur ?

Pourtant, plusieurs conseillers municipaux ont des compétences dans ce domaine. Ils auraient pu se charger avec efficacité de ces tâches. Mais le maire a préféré les traiter avec mépris...

A quand le retour à la machine à écrire, comme aux débuts du corbeau?

Celui-ci s'est justement essayé à internet avec ses blogs diffamatoires depuis 3 ans...

Le corbeau, roi du culot

En se prenant pour un expert de la dissimulation (allant même jusqu'à faire un usage maladroit du Darknet), il s'est pris les pieds dans le tapis... et son identification n'est vraisemblablement plus qu'une question de temps.

Un journaliste de L'Alsace décrivait ainsi notre corbeau, dans un article du 19 septembre dernier: "Une ambiance qui était, rappelons-le, déjà largement plombée par les agissements répétés d’un ou plusieurs « corbeaux », qui diffusent allègrement via des blogs ou lettres anonymes toutes sortes d’informations nauséabondes, accusations et autres fausses rumeurs." 

En réaction sans doute, le corbeau a publié un article où il s'interroge sur "qui contrôle l'éthique des journalistes". 

Un comble pour quelqu'un qui refuse tout dialogue et droit de réponse, en se cachant lâchement derrière l'anonymat pour ses mensonges, diffamations et machinations. 

Et qui contrôle l'éthique des corbeaux? Certains osent vraiment tout...

Vivement que l'esprit malade qui se cache derrière l'anonymat puisse enfin répondre de ses calomnies.

En tout cas, à Mooslargue, avec internet, rien n'est simple...

EDIT le 22/10/2018: le compte-rendu du dernier conseil municipal est maintenant publié, après plus de 3 semaines. Une réaction à la lecture de mon article, la municipalité suivant avec assiduité mon blog?

EDIT le 24/10/2018: maintenant c'est la Lorgnette 2018 qui a été publiée sur le site de la commune. Espérons que la lecture de mon blog continue à être salutaire pour la municipalité.