Le culot d'un maire (Pascal Sommerhalter, maire de Mooslargue)
"C'est pas moi, c'est les autres" aurait pu dire Pascal Sommerhalter, maire de Mooslargue, qui se pose en victime.
Lors du dernier conseil municipal, il a ainsi tenté de justifier une nouvelle erreur (un vote imaginaire inscrit dans le compte-rendu du conseil municipal précédent, qu'un conseiller lui a fait remarquer).
"Le fait que cet incident soit arrivé n'est pas étranger au fait que dès l'ouverture de la dernière séance du conseil municipal et pour un bon quart d'heure, M. LAVARENNE s'est cru obligé de faire des remarques, critiques et demandes diverses"
Malheureusement pour Pascal, j'ai assisté à ce conseil municipal, donc je sais parfaitement ce qui s'y est passé!
En réalité, après avoir lu l'intégralité de l'ordre du jour, Pascal a directement abordé le premier point (qui se situe après le vote imaginaire indiqué dans le compte-rendu). Mathieu Lavarenne l'a posément interrompu à ce moment seulement, avant qu'il ne soit trop tard pour ajouter ses questions à l'ordre du jour.
Pascal avait donc à ce moment déjà oublié de faire voter la désignation d'un secrétaire de séance.
Quant à l'exagération du "bon quart d'heure", ça n'a pas duré plus de quelques minutes, qui ont peut-être semblé plus longues à Pascal ?
Tout cela me semble une fois de plus profondément indigne d'un maire, et dans la droite ligne de son premier discours diviseur.
On a le droit de faire des erreurs, mais ce n'est pas correct d'en rejeter la responsabilité sur autrui.